Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 08:34

Bonjour  à tous les membres et sympathisants.


CREAvignon organise sa réunion mensuelle le lundi 24 janvier de 18h30 à 20h dans les locaux d'Economis (coordonnées ci-dessous).

 

Cette première réunion de l'année, nous permettra de nous rencontrer physiquement et de fixer les objectifs pour l'année à venir.

 

Vous aurez l'occasion de rencontrer les membres du Conseil d'Administration et la possibilité de soulever toutes les questions que vous souhaitez et pourquoi pas nous faire part de projets qui vous tiennent à cœur.

 

Votre participation, est importante.

En effet nous attachons beaucoup d'importance aux contacts humains qui sont le ciment de l'action de notre association.

Le verre de l’amitié vous sera offert (jus de fruits bio).

 

En espérant, vous compter parmi nous,

 

cordialement.

 

CERVANTES Jean-Pierre

Président de CREAVIGNON

http://creavignon.ning.com

http://creavignon.fr

06 88 88 86 01

 

 

 

* Economis, 2 Place Alexandre Farnèse,84000 Avignon

Le Centre d'affaires se situe au 4° étage de l'immeuble du Vinci ! Voir le plan d'accès

Sur le même site sont implantées l'ANPE, l'URSSAF, la Mission Locale et la mairie de quartier.

 

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 23:44
Bonjour à tous, membres et sympathisants de CREAvignon.
 
J'ai le plaisir de vous annoncer en primeur que je viens d'être investi par Europe Écologie Les verts pour défendre le projet écologique sur le département du Vaucluse.
Je serai candidat sur le canton Avignon-Est aux prochaines élections cantonales de mars 2011.
Je me devais de vous en informer avant la presse.
Je me suis longuement posé la question d'un engagement politique en plus de mon engagement sur un plan personnel et sur le plan associatif.
Comme vous le savez, j'ai participé à la création de CREAvignon et j'en assure la présidence depuis le début, c'est à dire un peu plus de deux ans.
Je suis également Vice-président de la Maison Alternative et Solidaire à laquelle CREAvignon adhère.
Je suis convaincu que, compte tenu de l'urgence climatique et sociale, je dois m'engager sur un plan personnel, associatif et politique.
Je viens de franchir un pas en acceptant de porter le projet écologique d'Europe Ecologie les Verts pour les prochaines élections cantonales.
L'écologie politique permet en effet de peser directement sur des décisions qui doivent permettre cette transformation écologique de la société.
 
CREAvignon est une association indépendante des partis politiques et doit le rester.
J'ai fait le choix de m'engager sur une candidature politique, car je suis convaincu que cette démarche est cohérente et de plus fera connaître CREAvignon de manière indirecte.
Cette démarche ne remet pas en cause, ni l'indépendance, ni la philosophie ni les actions de CREAvignon.
Je vous invite par ce mail à me faire parvenir vos commentaires.
 
Si vous souhaitez m'apporter votre soutien, vous pouvez l'exprimer sur mon blog: http://cervantesjean-pierre.blogspot.com/ ou me faire parvenir un mail à cervantes.jeanpierre@gmail.com
 
Ecologiquement votre.
 
CERVANTES Jean-Pierre
Président de CREAVIGNON
http://creavignon.ning.com
http://creavignon.fr
Partager cet article
Repost0
13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 01:55

 



Nos territoires, nouveaux terrains de jeu des pétroliers

Sur le plan environnemental, le gaz de schiste est au gaz naturel ce que les sables bitumineux sont au pétrole: un désastre environnemental, un saccage des terres agricoles, un coût d'extraction élevé, un gaspillage d'une ressource rare et la pollution de nos réserves en eau.



Savoir s'asseoir sur le Grenelle ..., un désastre écologique comme le montre l'expérience américaine

Pourquoi alors un tel empressement ?

Parce que sans jamais l'admettre, ni surtout l'anticiper par une diminution de la consommation, les pétroliers savent que la ressource pétrole s'épuise et qu'il leur faut trouver de nouvelles réserves d'énergie à exploiter. Pour cela ils envisagent, comme aux USA et au Canada, de doubler en 10 ans notre consommation de gaz, et tant pis pour les générations futures ! On comprend pourquoi, l'ex Ministre de l'environnement, JL Borloo, n'a pas fait intervenir le principe constitutionnel de précaution et a accordé en toute discrétion les permis d'exploration. Car ''il ne faudrait pas casser le projet industriel en imposant trop de normes environnementales''.


 

Les permis d’exploration :

 

En mars dernier, le ministère « de l’Ecologie » a accordé trois permis exclusifs d’exploration (permis de Montélimar ; Permis de Nant ; Permis de Villeneuve de Berg) à Total, GDF-Suez et à la firme américaine Schuepbach Energy LLC (cf le bulletin d’information du BEPH de mars 2010). Les sous-sols à explorer dessinent un gigantesque V de Montelimar au Nord de Montpellier, remontant à l’Ouest sous le plateau du Larzac et le long du parc naturel des Cévennes et l’Ardèche soit 9672 km² (cf. carte) à GDF-Suez qui pourrait débuter dans quelques mois des « forages expérimentaux » sur la commune de Villeneuve de Berg en Ardèche. Le groupe américain Schuepbach Energy, (leader mondial de l’exploration), avec qui GDF-Suez s’est allié, s’est vu accorder pour 3 ans l’exploration d’un bassin sédimentaire de 4414 km² qui s’étend à l’est d’une ligne allant de Saint-Geniez-d’Olt à Camarès pour rejoindre la Méditerranée correspondant au permis dit « de Nant » (dont le secteur du Larzac) à Total qui a acquis début 2010, 25% de Schuepbach Energy, afin d’opérer sur le permis dit « de Montélimar », accordé pour 5 ans.


 

Il faut savoir que ces permis sont renouvelables deux fois , n’exigent aucune information du public ni enquête publique et seule une notice d’impact est demandée. Une simple déclaration préfectorale suffit alors pour pouvoir démarrer les travaux.



Sortir de la dépendance énergétique pour aller vers l'autonomie et à la
sobriété : un principe de responsabilité !

Plutôt que cette fuite en avant énergétique, c'est par une modification de
nos comportements et usages que nous préserverons nos territoires. Comment
nos quartiers, villes et villages peuvent-ils réduire leur consommation
d'énergie et parvenir à l'autonomie énergétique et à l'autosuffisance
alimentaire, tout en préservant les ressources naturelles ? Comment passer
de la dépendance au pétrole à la résilience locale ? C'est là tout l'enjeu
d'un projet de Territoires en transition.


Redonner la parole aux habitants de nos territoires.

Il est fondamental de décider collectivement de l'exploitation de nos
ressources, et l'importance de cet enjeu nécessite une large consultation
publique visant entre autres à décider de notre avenir énergétique.

 

 

L'exploitation des gaz de schiste était encore impensable il y a une dizaine d'années, trop couteuse, mais l'extraction devient rentable à cause de la rarefaction et de l'augmentation des energies fossiles. C'est encore une fois notre modèle économique, energétique qui est en cause et sa necessaire transformation vers plus d'efficacité et de sobriété, et d’énergies renouvelables.
Les lourds investissements faits dans ces gaz se feront au détriment d'une politique plus propre et plus respectueuse, qui incluent  les transports en communs et alternatifs et la relocalisation de l’économie. 
La question de notre modèle de développement prédateur est clairement posé.

Signez la pétition:

Pour un moratoire sur l'extraction de gaz de schiste.

 

 

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 14:38

Un monde meilleur ou le meilleur des mondes?

 

 

En ce début d'année 2011 je vous présente mes meilleurs vœux de bonheur et de santé.

 

Je profite de ces vœux pour vous faire partager une lecture passionnante , pleine d'espoir et de joie

«  Manuel de transition »http://www.transitionfrance.fr/le-manuel

 

Ce manuel nous expose clairement les deux grands chocs qui vont frapper notre société:

Le réchauffement climatique et le pic de production pétrolière atteint en 2010 ( demande supérieure à l'offre, c'est à dire la fin d’un pétrole abondant et peu cher !)

 

Face à ces défis qui pourraient nous pousser au pessimisme ou au renoncement son auteur Rob Hopkins nous montre que cette remise en question obligatoire peut être une formidable occasion de transformation vers une société solidaire et durable. La visite du site internet consacré au mouvement m'a apporté en ce début d'année plein d'espoir suscité par toutes ces initiatives que j'ai pu découvrir.

 

Ce livre met entre vos mains un outil de changement incroyable et nous fournit des pistes concrètes pour agir à un niveau local. De plus il en ressort beaucoup de fraicheur car c'est un mouvement basé sur le partage et la convivialité (moins de biens et plus de liens!).

En fait, j'ai trouvé dans ce livre une formidable expression de ce que je pressentais pour CREAvignon sans pouvoir l'exprimer avec autant de clarté et d'expérience.

 

Je me suis également procuré le DVD que je vous proposerai bientôt de visionner comme support à un débat.

 

Notre mode de vie va devoir changer! Si vous recevez ce message c'est que vous faites partie des personnes qui le percevez de manière plus ou moins consciente. Ce changement peut s'opérer par une transition douce vers un monde meilleur mais si nous refusons de regarder la réalité en face, nous devrons sans doute plus tard, subir ce changement de manière brutale , peut-être de manière autoritaire et froide comme nous l'a évoqué Aldous Huxley dans le meilleur des mondes.

 

Nous possédons une association qui a su évoluer et se renforcer depuis sa création, nous disposons par ce mouvement d'outils pratiques et théoriques. 2011 sera-t-elle l'année de la transition pour nous?

 

Alors, on commence quand ?

 

Je vous invite à réagir à ces vœux en cliquant ICI!

 

Solidairement et écologiquement votre.

 

 

PS: Si vous désirez une copie du manuel ( 20€) vous pouvez le commander directement ou m'en informer pour un achat groupé qui peut être le signal de notre transition sur la région d'Avignon.

Partager cet article
Repost0
4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 12:42
Bonjour à tous et bonne année 2011!
  
Je vous parvenir une invitation pour une rencontre autour du transport et de l'éco mobilité en présence de Jean – Yves PETIT, vice – président délégué aux transports et à l’éco mobilité.

Cette rencontre aura lieu le lundi 10 janvier, de 15 h à 17 h à la  MAISON POUR TOUS CHAMPFLEURY, 1 Rue Marie Madeleine - 84000 Avignon

 

Parmi les questions  qui pourront être abordées  Jean – Yves PETIT souhaite faire le point sur les projets en cours concernant l’étoile d’Avignon et le développement du réseau  prévu dans le cadre du Schéma régional de desserte ferroviaire voté en décembre par le Conseil Régional : Avignon – Carpentras et liaison gare SNCF – gare TGV, réouverture  gare Barbentane et  projet de réouverture ligne Orgon – Avignon .. ;

D’autre part nous pourrons évoquer  la délibération votée  également en décembre sur la politique régionale en faveur du vélo présente des opportunités pour développer le vélo en ville et les liaisons avec les gares et les lycées notamment

Enfin les questions relatives à l’amélioration de la qualité du réseau TER, de l’inter modalité entre les transports urbains et les transports régionaux, du fret ferroviaire pourront également être évoquées ainsi que les demandes plus spécifiques des associations et usagers.  

 

Merci de votre présence à cette rencontre, n’hésitez – pas à en informer les associations et particuliers pouvant être intéressées par le sujet

 

L'association CREAvignon y participera et nous serions ravis de vous compter parmi-nous.
Si le temps le permet, notre association vous présentera notre enquête sur les transports en commun du Grand Avignon que vous pouvez d'ores et déjà remplir en ligne: http://creavignon.fr/enquete-sur-les-transports-en-commun-du-grand-avignon
ou sur papier en téléchargeant le formulaire en PDF pour faire remplir l'enquête parmi vos membres ou dans votre entourage:  http://creavignon.free.fr/Questionnairetcga.pdf
 
Je vous signale également la pétition :
 

 

Pour Jean – Yves PETIT,  

 

Jean - Claude ALBERIGO

Chargé de mission

Délégation  Transports et éco mobilité

Tel 04 91 57 55 63  - Mob 06 71 74 60 41

  

 

91 57 55 63  - Mob 06 71 74 60 41

Partager cet article
Repost0
31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 17:26
Gaz de schiste : José Bové monte au créneau

Après celui mené contre les OGM, José Bové s'est engagé dans un nouveau combat : le gel des prospections en vue d'extraire du gaz de schiste en France

L’eurodéputé (Europe Écologie-Les Verts) réclame le gel des prospections autorisées par le ministère de l’Écologie.

 

C’est LA grande polémique environnementale de cette fin d’année et il est très probable que cette proclamée recette miracle pour l’indépendance énergétique suscite, au même titre que l’extraction des sables bitumineux avant elle, une mobilisation internationale des associations de protection de la nature dans les années à venir. Un flou dérangeant plane sur les méthodes d’exploitation du gaz de schiste et en particulier sur le liquide de fracturation à haute pression qui pousse ledit gaz à la surface.

Mis au point par la société Halliburton, qui était notamment chargée du cimentage du fameux puits Macondo mais qui ne fait curieusement pas partie des entreprises poursuivies par l’administration Obama à la suite des ravages provoqués par l’explosion de la plateforme Deepwater Horizon dans le Golfe du Mexique, celui-ci est constitué « de sable, d’eau et de pression », « précise » la multinationale américaine sur son site Internet. Difficile de faire plus vague, et si les Gérard de l’Écologie existaient Halliburton aurait sans aucun doute pu prétendre à mettre tout le monde d’accord cette année.

Car on sait en revanche que chaque fracturation de la couche de schiste requiert entre sept mille et quinze mille mètres cube d’eau (la moitié tout au plus remonte à la surface) et que l’opération se traduit par d’importantes fuites d’hydrocarbures, en plus de nécessiter l’affectation de centaines de camions. Les risques de fissure du coffre de béton, que nous avons déjà évoqués en début de semaine dernière, sont par ailleurs élevés, d’où des échappements de gaz et du liquide de fracturation et, par extension, des conséquences sanitaires potentiellement gravissimes. Pollution en surface, contamination des nappes phréatiques : les défenseurs de l’environnement préjugent d’un véritable désastre.

« Ni analyse, ni réflexion ni débat public »

 

Compte-tenu de tous ces éléments, le quidam est fondé à s’interroger sur l’aval donné au printemps dernier par Jean-Louis Borloo à l’exploration de dix mille kilomètres carrés de terres françaises. Passant outre le principe de précaution, négligeant les études d’impact, l’ancien ministre de l’Écologie a en effet délivré en catimini trois permis exclusifs pour permettre au fleuron national Total, au groupe suisse Mouvoil et à la société américaine Texas Schuepbach Energy de prospecter dans une zone d’environ dix mille kilomètres carrés s’étendant de Montélimar (Drôme) et Montpellier (Hérault). Parmi les contrées concernées, le plateau du Larzac, havre de paix qui est aussi aux dires du plus célèbre paysan français « le château d’eau de toute la région sud ».

José Bové l’a saumâtre et il n’est pas le seul. L’association Les Amis de la Terre, co-organisatrice avec lui et ses partisans d’une réunion d’information qui s’est tenue lundi dans la commune aveyronnaise de Saint-Jean-de-Bruel, concernée au premier chef, refuse elle aussi de jouer les victimes expiatoires.

« On a donné les autorisations sans analyse ni réflexion et sans aucun débat public sur les avantages et les inconvénients », regrette le député européen, qui prône un moratoire « pour mener ce débat public avant de commencer le moindre forage » et sera la figure people du « comité de vigilance » créé à l’issue de la réunion précitée.

Les opposants à la décision gouvernementale comptent en outre sur le soutien des municipalités, dont certaines pourraient prendre des arrêtés en vue d’interdire les forages. Pour l’heure, aucun n’a encore été effectué et le début des travaux n’est pas daté, ainsi que l’a précisé la préfecture de l’Aveyron, laquelle aura toutefois bien du mal à canaliser les velléités de révolte.

Ces dernières sont d’autant plus compréhensibles que les techniques d’exploitation du gaz de schiste sont en plein essor outre-Atlantique. M. Bové redoute donc une « ruée des firmes gazières sur les Cévennes et le Larzac » qui laisserait « présager d’un nouveau combat fondamental pour la sauvegarde des ressources naturelles », quatre décennies après les célèbres manifestations « hippisées » contre l’extension du camp militaire du Larzac.

Il est en l’occurrence question « de trous tous les deux cents mètres et de créer un vrai no man’s land là où vivent des gens », prophétise l’écologiste, qui devrait pouvoir compter sur le soutien global des habitants.

Parce qu’ils ont indiscutablement leur mot à dire, il faudra les écouter. L’idéal auquel croient encore les adversaires des gaz de schiste serait de faire d’abord en fonction d’eux et de leur environnement. Les autorités auraient tort de douter qu’ils seront prêts à tout pour que les choses se passent ainsi.

Crédits photos : Wikimedia Commons – Guillaume Paumier / Sylvagnac
Source: http://www.zegreenweb.com/sinformer/energie/gaz-de-schiste-jose-bove-monte-au-creneau,19702
Partager cet article
Repost0
31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 16:35

APPEL DE COLLECTE DE FOND LANCE PAR L'ASSOCIATION FOLL'AVOINE


L'association Foll'Avoine recherche 20 000 euros afin de racheter 1,3 hectare de vigne dans le Luberon (84).
Parce que l'utopie est la vérité de demain, Nous nous lançons dans ce beau projet afin de vivre une belle expérience humaine, paysanne et citoyenne.

Comment ça marche ?
Vous achetez le nombre de part que vous souhaitez (une part = 50 euros)
Vous adhérez à l'association Foll'Avoine (15 euros - 5 euros pour les petits budgets), ce qui vous offre la possibilité de faire partie du conseil d'administration.
Puis vous entrez dans un projet collectif au sein duquel vous pouvez participer à la taille de la vigne, aux vendanges, à la préparations des bouteilles, à la vinification et à l'étiquetage ....
Ensuite, chaque année vous aurez au minimum deux bouteilles de vin, de notre propre cuvée, « La cuvée Foll'Avoine », cultivée en agriculture biologique avec projet de cultiver la vigne en biodynamie.
A savoir, la première année, celle de la mise en route pas de bouteille de notre futur grand cru ... il faudra patienter un an !

L'aspect technique :
Aujourd'hui nous cherchons à réunir au plus vite les fonds nécessaires.
Demain nous déciderons de la forme GFA ( Groupe Foncier Agricole) ou SCIC ( Société Coopérative d'Intérêt Collectif).
Après demain (d'ici janvier 2011), soit nous rassemblons un nombre suffisant de part, soit nous annulons l'opération (l'encaissement des chèques ne sera effectif que si le projet se concrétise).

L'intérêt pour le paysan : Lui permettre de continuer de cultiver une terre qu'il ne peut racheter aujourd'hui,. En gros, 2/3 de la culture pour le paysan, 1/3 pour les acheteurs.
L'intérêt général : Agir pour la préservation des terres fertiles, innover dans des formes d'actions directes et efficaces.

CONTACT :
Association Foll'Avoine
Tel : 06 25 61 46 33 ou 06 68 44 06 01
Mail : follavoine.paca@yahoo.fr

Renvoyer votre adhésion et votre contrat moral signé à Foll'Avoine (documents téléchargeables), avec le nombre de parts souhaitées et vos chèques (15 ou 5 euros d'adhésion + 50 euros par part souhaitée).
A : ASSOCIATION FOLL'AVOINE QUARTIER LA MALESPINE 84 400 CAVAILLON

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 18:37
Enquête sur les transports en commun du Grand Avignon

Le collectif "Urgence Climatique et Justice Sociale" cherche à améliorer le transports en commun sur le réseau TCRA.
Pour nous aider à mieux connaitre vos déplacements et vos désirs dans le Grand Avignon, merci de répondre à ce questionnaire.
bus.png
Partager cet article
Repost0
21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 20:01

Bon, bien sûr en cette période de nativité ce n'est peut-être pas celui que vous attendiez tous!

C'est tout de même un évènement pour notre association et aussi beaucoup de travail pour Eric qui l'a rendu possible.

Je vous invite à y faire un tour et même vous y inscrire!

 

 

 Nouveau site de CREAvignon

 

 

 

Profitez-en pour signer la pétion!

 

Partager cet article
Repost0
17 décembre 2010 5 17 /12 /décembre /2010 13:00

Les cantines scolaires d'Ile-de-France disent oui aux produits bio !
Pour la deuxième année consécutive, le WWF et plusieurs associations se mobilisent pour accélérer l'introduction de produits bio dans les cantines scolaires. Car si le mouvement est bien lancé sur la plupart du territoire, ces produits n'occupent encore que la part congrue des repas des enfants. Mais la situation change. Exemples en Ile-de-France.

Alors que la France s’est engagée à introduire 20% de produits bio dans les cantines scolaires en 2012, aujourd’hui, on est très loin du compte. « Nous en sommes à 3 ou 4 % », estime Nathalie Kosciusko Morizet dans un message lu lors de la conférence de presse de lancement de la campagne « Oui au bio dans ma cantine ! » coordonnée par le WWF. « Moins de 2 % », selon Serge Orru, le directeur général de l’association, qui invite les parents à mener l’enquête sur la place des aliments biologiques dans les cantines de leurs enfants, avant d’envoyer un courrier aux élus. De quoi donner une « image réelle et concrète de la France qui dit « oui au bio dans la cantine » » et faire pression sur les décideurs pour qu’ils accélèrent le mouvement, espèrent les associations partenaires de la campagne. Mais déjà des initiatives se multiplient, à des rythmes différents, comme le démontre le cas de l’Ile-de-France.

Les initiatives des élus d’Ile-de-France

Aujourd’hui, les disparités sont grandes entre les différentes communes (voir article lié). Et c’est souvent l’implication des élus qui fait la différence. Dans le deuxième arrondissement de Paris, dirigé par le Vert Jacques Boutault, la part de produits bio grimpe ainsi à 40% en volume et 60% en valeur (avec un menu végétarien par semaine). C’est 4 fois plus que la moyenne parisienne : de 8 et 10 % en 2010, avec un objectif de 30 % à la fin de la mandature, en 2014. La démarche fait aussi son chemin dans toute l’Ile-de-France. A Bagneux par exemple, avec la société Vivrao et son concept "mon assiette bio, ma pelle" (voir document lié), la ville entend aussi développer sa part de produits bio dans les 3 600 menus servis chaque jour en structurant la filière locale, et notamment avec les agriculteurs en conversion pour leur garantir des débouchés sur la longue durée. Actuellement composée de 3-4 produits (lentilles yaourts, pomme/poire), la gamme de produits bio devrait bientôt s’enrichir de légumes.

Quels moyens en face ?
Comme plusieurs associations, la députée Verts-Europe Ecologie, Anny Pourcinoff, est en colère : « Les engagements du Grenelle de 20% de bio dans la restauration collective en 2012 c’est bien, mais le problème c’est que le gouvernement ne met pas en face les moyens nécessaires. » Le projet de loi de finances 20011 qui vient d’être adopté au Sénat, fait en effet marche arrière sur les subventions accordées aux agriculteurs convertis à l’agriculture biologique en revenant au montant d’avant Grenelle : soit 2000 € de crédit d’impôt sur le revenu au lieu des 4000 € dont ils bénéficiaient depuis trois ans. Un crédit d’impôt, considéré comme une niche fiscale par le gouvernement mais qui avait pourtant comme « principal mérite de remettre un peu de justice dans l’attribution des aides, notamment parce qu’il ciblait surtout les petites structures qui n’en percevaient pas ou très peu », expliquent la Confédération paysanne, Nature et Progrès et la FNAB dans un communiqué commun. « Cette mesure financière est un message très négatif adressé à la bio et une trahison complète des objectifs affichés par le Grenelle de l’environnement », regrettent-elles. Alors que la surface agricole utile bio n’est encore que de 2,6 % en France cette coupe franche ne devrait pas aider à atteindre l’objectif de 6% annoncé pour 2012.

Des initiatives soutenues par la région. Depuis la fin 2008, notamment sous l’impulsion d’Anny Poursinoff, ex-conseillère régionale aujourd’hui députée Verts-Europe Ecologie des Yvelines, le conseil régional a ainsi adopté le principe d’une aide à l’introduction de produits biologiques dans les restaurants scolaires des lycées et d’une prise en charge du coût dans 35 établissements qui se sont engagés à pérenniser ce type d’actions. Au total, ce sont près de 160 000 € de crédits régionaux qui ont bénéficié à 19 000 lycéens, soit 8% des demi-pensionnaires franciliens. Et pour permettre aux cantines de s’approvisionner localement, la région a modifié sa convention avec la SAFER (société d’aménagement foncier et d’établissement rural) pour qu’elle donne la priorité à l’installation d’agriculteurs bio lorsque les terres se libèrent. Parallèlement des formations sont également dispensées à la fois pour les élèves avec le Groupement d’agriculteurs biologiques (GAB) et pour le personnel de cuisine.

A Clamart, plus de bio et des économies

Pour permettre à quelque 4 300 élèves d’avoir des produits bio dans leur assiette, la mairie de Clamart s’est, elle, engagée dans une démarche originale qui semble porter ses fruits. En 2008, François Soulabaille, alors nouvellement élu conseiller municipal délégué à la restauration municipale, décide d’introduire des produits bio dans les menus. Mais pour ce faire, il veut parier « sur une démarche globale, basée sur l’humain ». Il revoit alors complètement les marchés de denrées : il bannit les fonds de sauce, « gouffre financier des cantines », remplace les fromages en portion emballés individuellement et bourrés d’agents de conservation par des fromages frais entiers découpés par le personnel dans la cuisine centrale, intègre un aliment bio chaque jour (céréales, fruits, laitage, légumes, etc). Un changement qui demande de valoriser le personnel de cuisine, davantage sollicité par ces produits demandant plus de travail de préparation. « Alors que le personnel de cantine est généralement peu qualifié, sous payé, et donc peu impliqué et souvent absent, nous avons embauché des personnes ayant au minimum un CAP cuisine ou pâtisserie et nous leur avons offert une formation valorisante, sur la cuisine gastronomique. Ensuite nous avons revu les horaires de travail pour mieux les adapter à leurs nouvelles tâches », explique-t-il.

Clauses sociales et environnementales dans les appels d’offre

Le résultat ne s’est pas fait attendre : « nous avons gagné de l’argent en achetant des ingrédients moins transformés et, même en embauchant deux personnes de plus (21 contre 19 il y a deux ans) : alors que le budget denrées est d’1,5 million d’€, nous en avons dépensé 1,4 en 2009 et 1,3 en 2010. Une différence qui est réinvestie dans l’introduction de produits bio ». Résultat : les cantines de Clamart comptent 20% de produits bio en volume (13% en valeur avec un objectif de 20% en 2011). Et la ville ne compte pas s’arrêter là : « nous allons maintenant essayer de privilégier le local, en intégrant notamment des clauses sociales et environnementales dans nos appels d’offre, en investissant dans une légumerie qui permettra de transformer les légumes sur place et, à horizon 2014, en déployant du fermage, c'est-à-dire de la location de terres aux agriculteurs bio », annonce François Soulabaille.

Béatrice Héraud
Mis en ligne le : 16/12/2010
© 2009 Novethic - Tous droits réservés

Source: http://www.novethic.fr/novethic/planete/institution/collectivites_locales/les_cantines_scolaires_ile_france_disent_oui_bio/132237.jsp?utm_source=newsletter&utm_medium=Email&utm_content=novethicInfo&newsletter=ok

Partager cet article
Repost0